Signes zodiacaux

A partir des formules réflexologiques (mobilité, équilibre, force en excitation – inhibition de chaque signe) et de la hiérarchisation planétaire, on dégage les dominantes et les carences zodiacales, et on établit un ou plusieurs scénarii possibles.

Pour cet exemple :

Pôle « adapté »
Quarte d’énergie (Bélier, Taureau, Gémeaux) dominante
Force d’Excitation et Vitesse (labilité) d’excitation
Induction négative (concentration) par le Taureau (deux dominantes Soleil, Jupiter) et sens des combinaisons (Soleil, Jupiter en Taureau, Neptune en Lion)
Sens des ensembles (Gémeaux occupé par Mercure, Sagittaire par Saturne)
Sens des contraires en appel (Uranus en Bélier).

Pôle « inadapté »
Lenteur, inertie d’inhibition (Lune dissonante à Mars et non-dominante en Taureau)
Sensibilité paradoxale ( – idem – )
Manque d’inhibition re-créatrice ( – idem – )
Manque d’inhibition extinctive (Vénus en Bélier dissonante)
Vitesse d’inhibition inadaptée (Mars-Pluton en Cancer)
Manque d’excitation associative ( – idem – )

Scénarii

Le scénario le plus fréquent est celui du passage du pôle adapté à l’inadapté lorsque la fonction planétaire est à la fois harmonique et dissonante ou lorsque le signe contient à la fois des fonctions « adaptées/inadaptées ». Qu’il y ait ou non dissonance, et quelle que soit la hiérarchie, la nature humaine ne se prête pas à un héroïsme permanent. En cas de crise (en termes réflexologiques : surtension d’un processus, conflit des contraires, frustration) le pôle inadapté des signes et planètes se manifeste.

Ici, les ruptures d’équilibre risquent de se traduire surtout par la faiblesse d’inhibition (irretenue), la phase paradoxale, les carences en inhibition extinctive et excitation associative.

Tous ces termes sont traduisibles en langage courant. Celui-ci n’est pas directement utilisé parce que seules les formules abstraites permettent des opérations de synthèse.

Si les transits indiquent les périodes délicates l’interprète peut en préciser l’importance et la signification fondamentale en tenant compte de la hiérarchisation. On sait déjà que les transits des planètes lentes en fin de hiérarchie sur les lentes ou rapides des dominantes sont liés aux transformations irréversibles. A partir de la comparaison des hiérarchies, il est également possible de classer les transits en plus ou moins favorables à l’adaptation (active/passive).

Dans cet exemple : les transits sur Jupiter, Soleil, Mercure, et Pluton s’ils sont harmoniques peuvent être considérés prioritairement « adaptatifs ». Les plus difficiles doivent concerner les dissonances des lentes sur la Lune en fonction Saturnienne.